Communes

Les communes du « Grand Cognac »

ArsBoutiers Saint TrojanBrévilleChâteaubernard

Cherves Richemont - Cognac - GimeuxJavrezac

Louzac Saint AndréMerpinsMesnac

Saint BriceSaint Laurent de CognacSaint Sulpice de Cognac 

16130 - ARS

Petit village de la Charente dans la région du Poitou-Charentes, Ars fait partie du canton de Cognac-Sud. Située à 32 mètres d’altitude et voisine des communes de Gimeux et Merpins. 752 habitants (appelés les Arsois et les Arsoises) résident sur la commune d’Ars sur une superficie de 11,4 km² (soit 66 hab/km²). La plus grande ville à proximité est la ville de Cognac située au Nord-Est de la commune à 7 km. La rivière le Né traverse le village. La commune dispose d’une église classée, l’église Saint Maclou et un château du 17e siècle. Guillaume de Brémond, IIIe du nom, chevalier, Sgr de Jazennes et d’Echillais, fut tué à Crécy, le 25 août 1346. Il avait épousé, en 1340, Jeanne d’Ars-Balanzac. Depuis cette alliance, la terre d’Ars est restée en possession de la maison de Brémond. Cette châtellenie, démembrement de la principauté de Cognac, qui formait le domaine privé des anciens comtes d’Angoulême. La marquise de Brémond d’Ars fit de nombreux aménagements dans la commune dont le canal du port de Jappe

16100 - BOUTIERS SAINT TROJAN

16370 - BRÉVILLE

La commune de Bréville est située au nord-ouest de la Charente dans le canton de Cognac-Nord, à une dizaine de kilomètres de Cognac. Elle est traversée par la Soloire, affluent de la Charente.

Son patrimoine se compose de plusieurs éléments architecturaux : le lavoir de la Coudre, les fermes et les porches charentais du 19e siècle, l’église Saint-Benoit datant du 12e siècle entourée du cimetière.

L’économie de Bréville a longtemps été basée sur l’agriculture et la viticulture. Avec le soutien de la communauté de communes, du département de la Charente, de la région Poitou-Charentes et de la SEMA, la commune a mis en place le « Pôle des Métiers d’Art du Bois ». - Le développement économique : prospection et accueil de professionnels des métiers d’art du bois, politique d’aide à l’installation, réhabilitation du patrimoine bâti et création d’ateliers. - L’animation : création d’une résidence d’artistes en 2010 et Festival « Art et Passion du Bois » organisés par l’association « Art et Bois à Bréville » (A.R.B.B.R.E), animations pour les groupes, expositions thématiques. - Le tourisme : ouverture des ateliers des artisans d’art au grand public, découverte des produits locaux (miellerie, boulangerie bio, ferme bio), exposition-vente « Art et Bois à Bréville », sculptures monumentales, gîtes ruraux et chambres d’hôtes, bar-restaurant, projet de création d’une salle d’exposition et d’un sentier sur le thème des métiers d’art du bois. - La formation / l’éducation : création et mise en place de projets pédagogiques autour du bois et des métiers d’art, accueil de groupes (scolaires, maisons de retraite, seniors, centre de loisirs, …), stages d’initiation et de perfectionnement à la marqueterie, exposition itinérante.

A l’occasion du Festival « Art et Passion du Bois » 2005, Bréville s’est vu remettre le label national “Ville et Métiers d’Art”.

16100 – CHÂTEAUBERNARD

www.ville-chateaubernard.fr

La commune de Châteaubernard a été créée en 1793, dans le canton et le district de Cognac et le département de la Charente. En 1847, réunie à Saint-Martin, elle disparaît pour être recréée en 1867. Depuis 1973, elle fait partie du canton Cognac Sud.

Située sur la rive gauche de la Charente, la commune est bordée au nord-est par le fleuve et à l’ouest par la ville de Cognac. Châteaubernard forme une vaste plaine avec un relèvement au Breuil (53m).

La commune est une cité résidentielle et vivante : près de 300 entreprises artisanales, industrielles et commerciales sont établies sur son territoire, regroupé notamment dans les zones d’activités communautaires de la Rue du commerce, de la Trâche, du Fief-du-Roy et du Mas-de-la-Cour. S’y ajoutera bientôt celle de Bellevue. Châteaubernard forme ainsi le plus grand parc commercial de l’agglomération cognaçaise.

La viticulture est bien représentée et on compte plusieurs distilleries.

La juxtaposition de ces activités industrielles, commerciales, artisanales et agricoles donne à Châteaubernard son image atypique de cité des villes, des champs et de l’entre deux…

La base aérienne 709 est implantée sur Châteaubernard, construite au moment de la seconde guerre Mondiale, elle abrite l’école de pilotage de l’armée de l’air qui assure la formation de tous les élèves pilotes militaires du territoire. La base aérienne 709 emploie environ 1500 personnes.

16370 - CHERVES RICHEMONT

Cherves-Richemont (communes associées depuis 1973). Cherves a comme origine le chanvre ; commune très vaste et variée (1 000 ha de vignes, 760 ha de bois ; une partie de carrières d’extraction de gypse). Un patrimoine architectural très riche : l’église Saint-Vivien, château Chesnel, crypte de l’église Saint-Georges de Richemont, logis de Boussac.

Un patrimoine environnemental important : vallée de l’Antenne, plusieurs ZNIEFF, conservatoire du vignoble Charentais avec un chêne vert vieux de 4 siècles, classé arbre remarquable. Des industrie reconnues : société Garandeau, Placoplâtre… Le centre équestre de Boussac et l’IREO de Richemont offrent des possibilités sportives et de formation au niveau régional et national. Le moulin de Prézier, gîte d’étape et de séjour, et plusieurs gîtes et chambres d’hôtes complètent ces équipements.

16100 - COGNAC

www.ville-cognac.fr

16130 - GIMEUX

Située en Grande Champagne, à 7 km à l’extrémité sud du canton de Cognac, en bordure du Né, Gimeux est une commune rurale de 735 habitants (recensement de 2008), pour une superficie de 740 hectares. Son activité économique est axée sur la viticulture et l’élevage.

Gimeux est prisée pour son calme, son cadre de vie et ses nombreux chemins de randonnées. Son point culminant, le moulin de Fanaud, emblème de la commune, offre un panorama exceptionnel sur la campagne alentour.

L’église, reconstruite dans la seconde moitié du XIIe siècle, dédiée à Saint-Germain-d’Auxerre, est de style roman, sobre, sûrement inspiré par les cisterciens de l’abbaye de la Frenade toute proche, car elle fut donnée au prieuré de Merpins en 1121. Elle a connu plusieurs restaurations de 1860 à 1982, et la plus récente en 1995.

Autre élément du patrimoine, la petite chapelle située à l’entrée du vieux bourg, en venant de Cognac. Il semble qu’elle ait servi d’étape aux pèlerins qui partaient à Saint-Jacques-de-Compostelle. Fin XIXe début XXe, elle a abrité des personnes errantes qui y étaient enfermées pendant la nuit pour ne pas gêner la tranquillité des habitants.

16100 - JAVREZAC

Adossée à la ville de Cognac et ouverte sur la campagne, Javrezac est située dans le cru des Borderies,” là où les eaux-de-vie ont un goût de violette”.

Son territoire est essentiellement consacré à la vigne et d’importantes distilleries y sont implantées. La vie économique et sociale y est très active, à l’image du monde associatif et sportif en particulier (football, tennis, etc..).

Javrezac est jumelée depuis 1983 avec la commune catalane de Sant Antoni de Vilamajor (près de Barcelone).

Le village est situé en partie sur une colline dominée par son église et en partie dans la vallée de l’Antenne qui se jette non loin de là dans la Charente

16100 - LOUZAC SAINT ANDRÉ

16100 - MERPINS

16370 - MESNAC

www.commune-mesnac.fr

La commune est située dans l’ouest du département de la Charente, sur la rive droite du fleuve Charente. Elle est limitrophe du département de la Charente-Maritime et son climat est océanique. Elle faisait partie de la Saintonge et la population parlait le saintongeais.

La commune est créée en 1793 sous le nom de Mémac.

La richesse viendra avec le cognac jusqu’à la fin du XIXe siècle et la misère avec la crise du phyloxéra.

La commune est traversée par l’Antenne affluent de la Charente sur sa rive droite qui coule lentement du nord au sud, se sépare en plusieurs bras, et forme ainsi, une zone de marais juste à l’est du village. Des sources ou résurgences existent dans le lit de la rivière qui continue ainsi à être en eau avec un débit minimum constant même quand la partie amont en Charente-Maritime est victime d’assecs par excès de ponction de la ressource pour l’irrigation. Mesnac est aussi le lieu de la confluence d’un des affluents de l’Antenne, le Veyron. En aval, le moulin de Chazotte fait la frontière avec la commune de Cherves.

Le Fossé du Roy croise l’Antenne par un très curieux double siphon avant de traverser le village des fosses mais en période de hautes eaux de la Charente l’écoulement est très faible et certains terrains peuvent rester inondés plusieurs mois.

Les mammifères remarquables sur ce site Natura 2000 sont les loutres et les visons d’Europe, ce dernier n’est plus présent que dans sept départements français.

Les batraciens sont nombreux avec présence de deux espèces de rainettes françaises, de crapauds et de salamandres.

Les poissons trouvent de nombreuses frayères, ils sont nombreux et de diverses espèces : brochet, truite, carpe, anguille mais aussi chabot, lamproie de Planer et lamproie de rivière, ainsi que cyprinidés d’eau vive (chevesne, barbeau, goujon).

En plus de nombreux insectes courants, on trouve plusieurs espèces de libellules.

Patrimoine architectural

• L’église Saint-Pierre du XIIe siècle, à plan allongé, en un seul vaisseau qui est recouvert d’une voûte d’ogives. Elle possède un escalier à vis sans jour. Quatre chapiteaux (sculpture de palmette, feuillage…) et un vitrail sont remarquables. C’était un prieuré-cure des bénédictins qui a été restauré en 2004. • Le château du XVIIIe siècle est actuellement une ferme auberge avec chambres d’hôtes et gîtes. • Le lavoir flottant qui se soulève comme un ponton quand le niveau de la rivière monte. Il a été construit après une souscription en 1861. • Des maisons et des fermes caractéristiques de l’architecture rurale des XVIIe siècle au XIXe siècle. • L’ancienne école construite en 1877, fermée et transformée en mairie et des logements à l’étage.

16100 - SAINT BRICE

Saint-Brice s’étend sur les deux rives de la Charente et est séparée de la commune voisine de Boutiers Saint-Trojan par la Soloire.

La commune est riche de son patrimoine, de la beauté des sites qu’elle offre au regard mais aussi par les nombreux et remarquables souvenirs du passé que l’on y rencontre. La Charente y coule dans une admirable vallée dont les flancs sont tapissés de magnifiques bois de chênes-verts, au milieu desquels de belles villas s’élèvent çà et là, rompant la monotonie du paysage.

La commune présente un patrimoine remarquable tant sur le plan de la qualité que sur le plan de la diversité :

- l’église abbatiale de Châtres, une des plus belles églises à coupole de l’Angoumois dont la façade, particulièrement bien conservée, a été travaillée avec une délicatesse admirable.

- Le château, élégante construction du XVIe siècle, avec son parc en bordure de Charente.

- L’église du bourg qui a conservé toutes ses dispositions architecturales du XIIIe siècle.

- Le logis de Garde-Epée avec son beau portail crénelé, devancé par une fuie gigantesque.

- Le dolmen dit de Garde-Epée, au milieu des bruyères.

Saint-Brice est également dotée d’équipements sportifs de qualité :

- Le stade de tennis Michel Firino-Martell qui comprend 4 courts couverts et dix extérieurs.

- Le golf du cognac et son parcours 18 trous.

- Le stade municipal équipé d’un court de tennis, d’un terrain de football (prochainement doublé d’un second terrain) avec vestiaires et club-house.

- Le parcours de santé installé dans le magnifique parc de la Garenne.

A  ces  équipements  publics,  il  faut  ajouter  la  bibliothèque  municipale, riche  de 4 000 volumes, bientôt agrandie et transformée en médiathèque.

La commune de Saint-Brice est jumelée avec la ville toscane de Radda in Chianti, en Italie.

16100 - SAINT LAURENT DE COGNAC

La commune de Saint-Laurent-de-Cognac est située au milieu des collines boisées des Borderies, sur la rive droite de la Charente, à 7 km à l’ouest de Cognac, par la Route Nationale 141.

L’implantation du bourg est liée à la présence d’une énorme source, assez puissante pour faire jadis tourner des moulins en aval. Cette source alimente aujourd’hui un ancien lavoir et on peut toujours voir les vestiges de l’un de ces moulins à proximité.

Cette source explique également le choix du nom de Saint-Laurent, car elle aurait eu pour but d’éteindre symboliquement les grilles et les charbons ardents sur lesquels ce martyr périt en l’an 258.

Ceci semble en effet justifié par le fait que l’église romane de Saint-Laurent, dont la fondation remonte au 11e siècle, se situe tout à côté de la source.

Le vignoble de Saint-Laurent-de-Cognac appartient au cru des Borderies. L’eau-de-vie qui y est produite est réputée pour son parfum de violette et de noisette et elle est un élément essentiel dans l’élaboration des cognacs les plus âgés.

Un chemin de randonnée commence devant l’église en suivant soit le chemin de Grande Randonnée (GR4), soit le circuit des Combes de 9,5 km.

16100 - SAINT SULPICE DE COGNAC

La commune est située sur la rive droite du fleuve Charente, sur un plateau calcaire datant du jurassique. La commune comporte un site Natura 2000 de la vallée de l’Antenne.

Essentiellement agricole et viticole (zone de Borderies de l’appellation cognac), Saint-Sulpice-de-Cognac dispose sur son territoire d’une zone de commerce (boulangerie, salon de coiffure et marché hebdomadaire) et d’une zone artisanale.

Elle est également dotée d’une école maternelle et élémentaire avec des services de transport, de restauration et de garderie / étude surveillée. Une micro-crèche privée s’est nouvellement implantée.

Pour les amoureux du sport, il existe un terrain de foot, un terrain de tennis et de nombreux chemins de randonnées.

Son patrimoine historique est très riche et diversifié : église du XIIe siècle, nombreux puits et lavoirs, tombes rupestres, carrières de pierre de calcaire, logis anciens, moulins, pont de fer, travail à ferrer et four à pain.

 

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